Adolphe Appian

Né à Lyon en 1818, Adolphe Appian est connu comme étant un peintre de l'École Lyonnaise. De son vivant certain l'on surnommé le « Delacroix du fusain ».  A partir de 1833 jusqu'en 1836, il étudiera le dessin à l'École des Beaux-Arts de Lyon. Parmi ses professeurs, on peut nommer Jean-Michel Grobon et Augustin Alexandre Thierrat. Il expose à de nombreuses reprises ses oeuvres. On le toruve présent au Salon de Paris ainsi qu'à celui de Lyon vers 1847, puis à partir de 1855, il y sera presque toujours présent. Sa vie d'artiste se jalonnera de diverses rencontres avec d'autres artistes contemporains dont les plus prestigieux sont Jean-Baptiste Corot et Charles-François Daubigny. Son art s'en trouvera profondément influencé. Il aime peindre au pinceau avec de nombreuses touches fines. Ses sujets de prédilections sont la campagne comme les peintres de l'école de Barbizon.

 Source : Wikipedia.org - Adolphe Appian

Charles Henry Contencin

Né à Paris, il s'agit d'un peintre du XXème siècle. On sait qu'il fut comme de nombreux autres artistes sociétaire des Artistes Français. Il ses talents artistes au moyen de la peinture à l'huile sur toile et sur isorel principalement. Ses sujets de prédilection sont les paysages de la Savoie et des alpes. Il peint la montagne, les lacs, les villages, des chapelles... Sa palette de couleur fait référence à des tons clairs et plutôt contrasté. Il contribua à mieux faire connaître les peintre de montagnard en devant président de la société des peintres de montagne.

 Source : Galerie du Bourget-du-lac en Savoie

Ange Abrate (ou Angelo abrate)

Né à Turin en 1900, il est le fils d'une famille piémontaise. A huit ans, il quitte l’Italie pour vivre à Marseille, ses parents étant de faible condition ceux-ci travaillent dur. Ses 16 ans marquent son retour à Turin. Il mène désormais la double vie d’alpiniste et d’ouvrier métallurgiste. Sa passion pour la montagne est sans limite, il intègre le Club alpin italien puis devient membre du Caf et du Peloton de gendarmerie de Haute montagne. Il est un autodidacte, sa formation, c’est ses lectures et sa passion des éléments naturels. L’ouvrier deviendra à force de travail un dessinateur industriel confirmé. Il peint la montagne mais pas seulement, les Alpes ne sont pas son seul sujet de prédilection. Il lui est arrivé de peindre des paysages du sud de la France entre autre chose. Jusqu’en 1944, il peint au couteau sauf pour ses ciels...

 Source : Galerie du Bourget-du-Lac

Louis Janmot

Né à Lyon le 21 mai 1814, de parents catholique Louis Janmot fut d'abord élève au Collège Royal de Lyon puis il intègre l'École des Beaux-Arts de Lyon en 1831. En 1 an, il obtiendra la distinction du laurier d'or. En 1833, il s'en va à Paris en vu de parfaire son éduction d'artiste. Il suvra de nombreux cours dont notamment ceux de  t Jean-Auguste-Dominique Ingres.En 1835, il quitte Paris pour Rome. Un an plus tard, il revient à Lyon, sa ville natale. Il exposera dans de nombreux salon, parmis les plus prestigieux de son temps. Cherchant à se démarquer des autres artistes, il prend soin de créer des peintures de grand format. Il ira jusqu'à honorer la commande pour la décoration d'une église où sa tache fut de réaliser une fresque... Concidéré comme un peintre de l'école lyonnaise, cet artiste s'inscrit dans un courant classique, avec beaucoup de sujets religieux.


Sources : - Fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Janmot
               - Musée des beaux arts de Lyon

Lucien Poignant

Né à Chambéry en 1905, très jeune il eut pour professeur l'artiste peintre Marcel Mergier qui l'encourage vivement à persévérer dans cette voie. La préfecture de la Savoie est durant un temps son employeur. Mais la peinture est sa seule préoccupation d'où son choix de très vite s'y consacrer exclusivement. Au contact d'autres peintres savoyards tels que Joseph Communal ou encore Francis Cariffa, il prend très vite l'habitude de peintre au couteau en apportant sur ses peintures de larges touches colorées bien que ses couleurs soient parfois qualifiées de tristes. A 19 ans, il expose à St Etienne avec un très bon accueil du public. A partir de ce moment, il expose également dans des galeries privées. En 1930, il épouse Nancie Belle qui deviendra à son contact elle aussi une peintre. Sa carrière d'artiste plus que prometteuse prendra fin rapidement en raison d'une mort prématurée pour cause de maladie à  l’age de 36 ans.

Source : Galerie du Bourget-du-lac

Jean Seignemartin

Nà à Lyon en 1848  et mort à Alger en 1875, il fut très jeune initié à l'art. Il a été l'élève, entre autre, d'Achille Chaîne, de M.P.Genod et de J.Guichard. Entré à l’école des beaux-arts à seulement 12 ans,  Il en sortira en 1865, preuve de son talent, le Laurier d’or lui ayant été attribué. Par la suite, il va peaufiner son expérience picturale. Avec le peintre lyonnais F.Vernay, il partagea un atelier, d'où une influence entre les deux hommes dans leur façon d'aborder la toile. En 1870, la guerre franco prussienne est déclaré où il est mobilisé.Il fera parti d'un corps de pontonniers à Paris, où il contracte la tuberculose. En 1874, il part pour l'Algérie, il y fera notamment la rencontre de l'artiste A.Lebourg. Artistiquement, il est classé parmi les peintre de l'école lyonnaise. Il abordera aussi bien des paysages que des natures mortes. Il fut également portraitiste. Les contrastes dans ses tableaux son à l'honneur sous les coups de pinceau savamment disposés.


Sources : - Larousse.fr/encyclopedie/peinture/Seignemartin/154366
               - Fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Seignemartin

Henri Blanc-Fontaine

Né à Grenoble le 16 janvier 1819, destiné à une carrière juridique, il va pour autant prendre une toute autre voie grâces à Diodore Rahoult qui va le pousser à s'établir à Paris. A 29 ans, il expose au Salon des peintures de genre. A partir de 1870, le paysage devient son genre de prédilection. Peintre de genre, ce fut également un portraitiste ainsi qu'un paysagiste.Sa peinture fut influencée de façon notoire par Ravier mais également Jean Achard et bien d'autres.

Source : Fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Blanc-Fontaine